DES MILLERS DE TORTUES MARINES NAISSENT EN RÉPUBLIQUE DOMINICAINE

tortues marines-samana-république dominicaine

Le Ministère de l'Environnement et des Ressources Naturelles est en train de suivre la ponte et la naissance de tortues de mer dans différentes parties du pays

SANTO DOMINGO.- Cette année, sur les plages de El Valle, El Limón et Cosón dans la province de Samaná, on a comptabilisé 15 nids de tortues Dermochelys Coriacea (luth), dont 9 nids qui ont éclos donnant vie à 1 200 nouveaux nés qui se sont dirigés vers la mer et six nids qui ont été détruits par la marée montante.

Les vices-ministres des Aires protégées Marines et Côtières et de la Biodiversité ont souligné qu'ils avaient également découvert sur la plage de l'île de Catalina, des nids de différents types d'espèces telles que Eretmochelys Imbricata (carey) et Chelonia Mydas (tortue verte).

En 2012, 75 nids ont été construits, dont sont éclos 2 521 nouveau-nés de tortues carey. 40 nids ont été malheureusement détruits par la montée des eaux générée par le passage des tempêtes tropicales Ernesto et Isaac.

Cependant, il reste encore 10 nids qui n'ont pas éclos, dont huit sont de tortue verte et deux de carey. De nouvelles éclosions sont attendues durant les prochaines jours, ces nids ayant été conçus en juin.

Les facteurs qui menacent l'extinction des tortues sont associés à la fausse croyance que leurs œufs sont aphrodisiaques, leur viande très demandée et à l'utilisation des carapaces pour en faire des accessoires et des objets d'artisanat.

La pollution des plages, et en particulier, la présence de plastique dans le sable et flottant sur la mer, contribuent également à l'état critique de la conservation de ces espèces à l'échelle mondiale.

Al Momento, 21 Octobre 2012, 10:42 AM


LA CAPTURE DES TORTUES DE MER INTERDITE POUR 10 NOUVELLES ANNÉES

Le gouvernement renouvelle son interdiction

Tortue Carey

Le gouvernement dominicain a interdit la capture, la collecte des oeufs, la commercialisation et de tuer les tortues marines de quatre espèces différentes qui existent dans le pays, ceci pour une période renouvellée de dix ans.

Cette dispostion fait partie du décret 288-12 publié hier par le président Leonel Fernández, dans lequel il est précisé que la fabrication, le commerce et la vente d'artisanat élaboré à partir des carapaces des tortues de la famille Cheloniidae ou tortue verte, carey (imbriquée), caretta caretta (migratrice) et dermochelyidae, communément appelé luth, sont strictement interdits.

L'Article 3 charge le Ministère de l'Environnement et des Ressources Naturelles d'effectuer la surveillance, le suivi, l'inspection, la confiscation et les actions juridiques nécessaires dans les établissements commerciaux qui utilisent ou vendent des restes de specimens, des dérivés ou de l'artisanat fabriqué à partir des espèces répertoriées, pour faire respecter le décret.

L'Aticle 4 confie au Ministère de l'Environnement la charge de mettre en œuvre des programmes environnementaux d'éducation, de sensibilisation et de communication afin de générer des changements dans les attitudes de la population, pour ainsi promouvoir la protection et la préservation des tortues de mer.

L'article 5 prévient que la violation des dispositions du présent décret sera punie conformément aux articles 167 et 168 de la Loi sur l'environnement et des ressources naturelles 64-00.

Listin Diario, le 13 juin 2012


La République dominicaine se lie à l'Amérique Centrale pour la fermeture de la pêche à la langouste

La République dominicaine s'est unie ce lundi à l'application de la troisième interdiction consécutive de la pêche et de la commercialisation de la langouste épineuse dans les Caraïbes

Fermeture de la pêche à la langouste 2012 République Dominicaine

Langouste épineuse - Las Galeras - Samaná

Le secrétaire de l'Agriculture du Honduras, Jacobo Regalado, a annoncé à Tegucigalpa que la fermeture de la pêche aura lieu le jeudi 1er mars 2012, et que la République dominicaine s'était unie à cette mesure régionale.

La fermeture de la pêche à la langouste, qui aura lieu du 1 mars au 30 juin 2012, sera en vigueur au Belize, Costa Rica, Guatemala, Honduras, Nicaragua, Panama et en République dominicaine.

Le directeur de l'Organisation du Secteur de pêche de l'Isthme d'Amérique centrale (OSPESCA), Mario González, a dit qu'on était en pourparlers avec les autorités d'autres pays des Caraïbes pour qu'ils se joignent à cette application afin de protéger l'espèce durant sa période de plus grande reproduction.

Il a ajouté qu'en avril prochain, les secrétaires d'Agriculture des Caraïbes se réuniront au Honduras avec leurs homologues d'Amérique Centrale pour connaître les règlements qui régissent l'interdiction de la pêche à la langouste.

Avec cette troisième fermeture de la pêche consécutive, la région d'Amérique centrale augmentera ses recettes d'environ 50 millions de dollars et on prévoit en outre une hausse de la production, a indiqué González.

L'Amérique Centrale obtient annuellement des recettes allant jusqu'à 450 millions de dollars, découlant de l'exportation de la langouste et génère autour de 60 mille emplois directs.

Le président de la Confédération d'Amérique centrale de Pêcheurs Artisanaux (Confepesca), Félix Paz, a dit que dans la région quelque 30 mille pêcheurs soutenaient cette fermeture pour obtenir ensuite des langoustes de meilleure qualité.

La première interdiction simultanée de pêche de la langouste dans les Caraïbes d'Amérique centrale avait été appliquée en 2010, dans le cadre d'un règlement que les gouvernements de la région avaient souscrit le 21 mai 2009.

Prensa Libre, le 27.02.2012


La saison des Baleines à Bosse démarre à Samaná


À partir de ce dimanche 15 janvier, le Sanctuaire des Mammifères Marins recevra des milliers de visiteurs

Baleine à bosse Samaná République Dominicaine

SANTO DOMINGO.- Le Ministère de l'Environnement a autorisé aujourd'hui le début de la saison d'observation des baleines à bosse à Samaná.

À partir de ce dimanche 15 janvier, le Sanctuaire des Mammifères Marins du Banco de la Plata et de La Navidad seront le receptacle de milliers de visiteurs venus admirer le spectacle de l'accouplement de centaines de baleines à bosse.

Durant la saison d'observation, selon le Ministère de l'Environnement, plus de trente mille visiteurs dominicains et étrangers, font une excursion pour contempler le spectacle.

Durant la saison d'observation, selon le Ministre de l'Environnement, Ernesto Reyna, cet événement naturel dynamise l'économie de Samaná et des provinces alentours.

Ce matin, le Ministère de l'Environnement, la Marine de Guerre, la Mairie de Samaná et le Ministère du Tourisme, ainsi que cinq autres institutions, ont signé un accord afin que chacun soit responsable et promeuve le tourisme durable durant cette période.

Entre trois et cinq mille cétacés visitent nos eaux territoriales y offrant le spectacle de rites de séduction le plus époustouflant de toute la région Caraïbe, entre le 15 janvier et le 30 mars.

Diario Libre, le 13 janvier 2012


Les Baleines à Bosse à Samaná

La Baie de Samaná a le privilège d'être reconnue à niveau international comme un des meilleurs lieux pour l'observation de la Baleine à Bosse (Megaptera novaengliae)

Chaque hiver, les Baleines à Bosse entreprennent une migration de 3500 à 7500 kilomètres, depuis les zones d'alimentation situées sur la Côte Est des États-Unis et du Canada, au Groënland et en Islande, jusqu'aux zones de reproduction dans les eaux territoriales de la République dominicaine.

Une grande partie de la population des Baleines à Bosse du Nord-Ouest de l'Atlantique passe les mois de janvier, février et mars à se courtiser au Banco de la Plata et au Banco de la Navidad, ainsi que dans la Baie de Samaná, qui sont les zones spécifiques où se forment les couples et où les femelles mettent bas.

Les femelles enceintes mettent bas et ensuite allaitent leurs petits baleineaux, les préparant ainsi à un long voyage de retour vers le Nord. Les baleines juvéniles apprennent grâce à l'exemple des adultes, les rôles de reprodution qui garantiront le futur de l'espèce.

Baie de Samaná

Las Galeras Divers, le 27.12.2011


La Republique Dominicaine se joint à l'Amérique Centrale pour interdire la chasse à l'aileron de requin

Requin_République Dominicaine

Les ministres de l'Agriculture d'Amérique Centrale et la République dominicaine ont signé un accord visant à interdire la capture de requins pour leurs ailerons et à développer le commerce intra-régional de matières premières

Il y a eu consensus au Conseil Agricole d'Amérique Centrale (CAC) pour l'approbation du règlement régional de l'Organisation de la Pêche et du Secteur d'Aquaculture d'Amérique Centrale (Ospesca) pour interdire le pratique du "shark finning" dans les pays du Marché Commun Centraméricain (SICA).

Le Ministre Salvador Jiménez a étendu la demande à la République dominicaine afin qu'elle fasse partie des accords régionaux de l'Ospesca.

Mario Gonzalez Recinos, directeur régional de l'Ospesca, a expliqué que "du Belize au Panama, la pratique du "finning" sera punie et que les gouvernements prendront des mesures pour établir des sanctions."

Plus de 100 millions de requins sont abattus chaque année, à un rythme de plus de 270,000 par jour, lors d'une pratique inhumaine qui rejette les animaux mutilés vivants à l'eau.
Ceci pour fournir le marché des ailerons de requin, cuisinés en potage, mets très apprécié par quelques cultures asiatiques. Un bol de potage peut valoir jusqu'à plusieurs centaines de dollars et certains ailerons plus de mille dollars selon la rareté de l'espèce du requin, son âge ainsi que son type d'aileron.

Dominican Today, le 26 novembre 2011


PÉRIODE DE REPRODUCTION DE LA LANGOUSTE ET DU LAMBI

Petit rappel pour nos amis visiteurs et gourmets, en République dominicaine, il est strictement interdit de pêcher, commercialiser et d'acheter de la langouste du 1er avril au 31 juillet de chaque année. Il s'agit de la période de reproduction. Il en va de même pour les lambis, qui eux sont en période de reproduction du 1er juillet au 31 octobre.

Pérdiode de reprodution de la langouste - République dominicaine Période de reproduction du lambi - République domincaine

Laissez les vivre et se reproduire, pensez au plaisir de les observer dans leur milieu naturel et aux générations futures qui n'auront peut-être plus cette chance.

Las Galeras, le 11 juillet 2011


LA RÉPUBLIQUE DOMINICAINE ET SON ENGAGEMENT À DÉFENDRE LES BALEINES

L'ORGANISATION ÉCOLOGISTE GREENPEACE A FÉLICITÉ LE PAYS POUR SON DROIT DE VOTE MÉRITÉ LORS DE LA PROCHAINE RÉUNION

Baleine à bosse Las Galeras, Samaná

L'année dernière, lors de la 62ème réunion de la Commission Baleinière Internationale (CBI) qui a eu lieu au Maroc, la chasse de 27 baleines à bosse durant les 3 prochaines année (à raison de 9 par an) a été approuvée pour le Danemark, dans les eaux du Groenland.
Les réactions ne se sont pas faites attendre: la société civile et les groupes écologistes et défenseurs des animaux ont déploré une décision qui, en plus de motiver l'extinction de ces cétacés, affectera les pays latino-américains qui, tout comme la République dominicaine, disposent d'un tourisme prometteur pour l'observation des baleines.

Étant donné que la République dominicaine n'avait pas pu honorer son paiement comme membre de la CBI, le pays n'était pas présent à cette réunion et, par conséquent, n'a pas pu voter contre la chasse qui faisait allusion à des motifs de subsistance ou de chasse de quote-part aborigène.

Afin de motiver la participation du pays à la prochaine réunion qui se déroulera à Jersey en Grande Bretagne du 11 au 14 juillet, Milko Schvartzman, coordinateur de la campagne des océans en Amérique latine de l'organisation écologiste Greenpeace, a visité le pays en décembre 2010. Le Ministère de l'Environnement s'est engagé au paiement de la quote-part et à la présence dominicaine lors de la rencontre annuelle de la CBI.
Ainsi, le 14 juin passé, le pays a soldé les 31.764 dollars et est devenu membre à part entière de l'organisme qui réglemente la chasse et le commerce des cétacés et auquel apartiennent quelque 89 pays. Un grand défenseur des baleines représentera le pays pendant cette réunion de la CBI, le biologiste Peter Sánchez, l'administrateur du Sanctuaire des Mammifères Marins du Banco de la Plata, du Banco de la Navidad et de la Baie de Samaná.

2010 : UNE BONNE SAISON

20101 fut une saison d'observation à succès durant laquelle plus de 38.000 personnes sont venues dans les alentours de la péninsule de Samaná entre janvier et mars pour contempler les baleines à bosse, a informé Peter Sánchez.
Ce chiffre, indique - t-il, "a dépassé nos objectifs et les nombres de l'année passée de 25 pour cent".

LES PAYS D'AMÉRIQUE LATINE CONTRE LA CHASSE À LA BALEINE


La République dominicaine, l'Argentine, le Brésil, le Chili, la Colombie, le Costa Rica, l'Équateur, le Panama, le Pérou, le Mexique et l'Uruguay sont en faveur du maintien des populations de baleines saines comme éléments fonctionnels de l'écosystème, c'est pourquoi ils proposent de mettre l'accent sur des sujets tels que le changement climatique, la dégradation de l'habitat, les collisions avec les bateaux et sur d'autres menaces pour les baleines, ainsi que sur l'observation responsable des cétacés, l'éthique et le bien-être animal.

LA RÉPUBLIQUE DOMINICAINE À LA CBI

Pour des organisations comme Greenpeace, la République dominicaine est un membre spécial de la CBI parce que, selon des estimations, 95% des baleines à bosse de l'Atlantique Nord arrivent sur nos côtes, pour une population approximative de 900 baleines.

El Listín Diario, Santo Domingo, le 5 juillet 2011


LES BALEINES À BOSSE SONT REPARTIES DE LAS GALERAS...

baleine samana

Les dernières baleines à bosse de la saison sont reparties de la zone de Las Galeras pour effectuer leur long périple vers le grand Nord.

De très nombreux visiteurs sont venus admirer ces magnifiques et émouvants mammifères qui chaque année viennent batifoler dans les eaux chaudes au large de Las Galeras et dans la Baie de Samaná pour se reproduire et mettre bas.

Leurs jeux et leurs acrobaties ainsi que la rencontre de la mère et de son baleineau resteront des souvenirs à jamais gravés dans nos mémoires.

Souhaitons leur bon voyage en nous réjouissant déjà de leur prochaine visite l’année prochaine !

1er avril 2011


TORTUES LUTH

Tortue Luth République Dominicaine Samaná

Le Ministère de l’Environnement dominicain libère 150 tortues de mer

Le Secrétariat de l’Environnement et des Ressources Naturelles (SEMARENA) a informé de la naissance d’au moins 150 tortues Luth durant les dernières semaines dans différents nids des provinces de l’Altagracia et de Samaná, qui ont été libérées sur la plage de Güibia à la capitale.

Dans la province de Samaná, 147 petites tortues sont nées, 72 d’un premier nid et 75 d’un second, tandis que 3 exemplaires sont nés à l’Aquarium National, d’un groupe d’œufs prélevés à Nisibón pour éviter les pillages du nid.

Les nouveaux nés ont été relâchés sur la plage de Güibia, dans le District National, tandis qu’on contrôle encore sept nids sur les plages de Nisibón.

Les tortues Luth dont le nom scientifique est Dermochelys coriacea, sont contrôlées in-situ par le personnel du Sous-secrétariat des Ressources Côtières et Marines et du centre de sauvetage et de réadaptation des espèces aquatiques de l’Aquarium National.

L’Environnement a fait appel aux communautés et aux autorités des zones côtières pour qu’ils protègent cette espèce.

Tortue Luth République Dominicaine Samaná

Tortue Luth République Dominicaine Samaná

La tortue Luth (Dermochelys coriacea) est la plus grande des sept espèces actuelles de tortues marines et de tortues en général et est en danger d’extinction.

Juillet 2009


Étude du Poisson Lion dans le pays

Reef Check coordonne un monitorat dans la zone

L’écosystème, importante vertèbre dans la colonne qui est la nature, s’est transformé en un milieu difficile à maintenir et, sans cet équilibre, tout le reste s’effondre.

À l’occasion du mois de la Terre, il est important de rappeler que chaque élément qui compose un de ces systèmes est autant important pour la planète que le contrôle des émissions polluantes.

L’invasion du Poisson Lion (Rascasse volante) sur les côtes du pays, est contrôlée depuis les premières informations scientifiques de rencontre avec le spécimen à Montecristi, vers le milieu de l’année passée.

Poisson Lion Las GalerasPoisson Lion Las GalerasPoisson Lion Las Galeras

Poissons Lion - Tibisi - Las Galeras

La Fondation Reef Check, maintient un monitorat constant des avances de l’espèce sur toutes les côtes du pays et est le porte parole dominicain sur les forums internationaux où on reporte les cas et la localisation de ces derniers, en plus d’examiner les possibles méthodes de contrôle.

Le sujet des espèces envahisseuses comme le Poisson Lion est examiné très sérieusement au sein de la communauté scientifique internationale, explique le directeur de Reef Check, le docteur Rubén Torres, qui représente le pays à la réunion de l’ICRI (International Coral Reef Initiative), à Phuket, en Thaïlande, et qui dit que l’invasion du Poisson Lion est un des sujets le plus difficiles sur lequel ils travaillent actuellement.

La rascasse volante est un grand poisson qui peut atteindre les 38 centimètres et peser jusqu’à 1.200 grammes .

Ses couleurs sont magnifiques et le Poisson Lion se distingue avec des lignes verticales rouges, blanches et couleur café tout le long de tout son corps, bien que les tons varient en fonction du lieu où vit.

Il a été aperçu pour la première fois, en 1992 au sud de Floride, à la suite du passage de l’ouragan Andrew, et depuis lors, il s’est propagé sur toute la côte est des Etats-Unis, jusqu’à descendre vers les Bahamas et maintenant les Grandes Antilles.

Le Poisson Lion (Pterois volitans) ou rascasse volante est une espèce marine originaire du Pacifique Ouest et d’Océanie.

Par sa grande beauté et comportement, il est très populaire parmi les aquariums, étant une des 10 espèces les plus précieuses importées aux Etats-Unis.

L’explication la plus probable pour l’arrivée de ce poisson dans l’Océan Atlantique serait à travers le commerce pour aquariums.

Il est aussi possible que le Poisson Lion puisse avoir été transporté à travers l’eau de lest des navires qui voyagent depuis l’Océan Pacifique.

C’est une espèce carnivore, qui se nourrit d’autres poissons, crustacés et mollusques.

Il est très vorace et il menace la reproduction des autres poissons.

Le Poisson Lion est une espèce exotique (mais pas des Caraïbes), qui concurrence territorialement avec d’autres espèces locales comme le mérou et qui altère l’équilibre écologique marin étant donné sa voracité et qu’il ne possède pas de prédateurs naturels dans cette zone.

L’espèce est vespérale et nocturne et il se trouve sur les côtes tropicales dans les bancs d’algues, les récifs coralliens ou les lagunes côtières de peu de profondeur.

Avril 2009